Les gâteux du PS

Publié le par Guy-Joseph Le Hezo

Moi j’aime les vieux gâteux, les enrhumés du cerveau, les emmazoutés des neurones,  les londoniens de la ciboule… J’aime les vieux, très vieux barons qui vous reçoivent dans leur vieil hôtel pourri jusqu’aux culs de basse fosse… Des palais désenchantés qui ressemblent tant à des mausolées léninesques. On a cru Jospin mort et enterré dans l’île chère à Vauban.. en train de pisser sur ses roses trémières et à courser les ânes-culottes pour leur faire subir les derniers outrages (leur faire prendre une carte au PS et voter Ségo…) Et puis il vient de démontrer que sa capacité de nuisance était encore bien intacte. Le gâteux a fendu l’armure pour sortir un bouquin vachard que je ne lirais pas même si mon Auchan favori venait à me l’offrir avec un paquet de tagliatelles de chez Lustucru. En sus. 
L'impasse !… quel beau titre qui doit lui rappeler des souvenirs lui qui nous a mis dans une belle merde en 2002 en ne réussissant même pas à se qualifier pour le deuxème tour.

S’il avait conduit une politique de gauche… on en aurait pas pris du chirac pour cinq ans et du Gogol pour une décennie . Bravo l’évaltonné de l’île de Ré. T'as pu qu'à entrer au Cercle des hommes d'état disparus. Le deuxième socialo-gâteux à mettre sa tête au créneau ces temps-ci c’est l’émulsionné Rocard que l’on a vu sur une photo du  journal faisant des yeux enamourés à Xavier la tulipe et Fanfan la faillite… Bravo la troisième gauche : quelle belle faillite morale et intellectuelle. Si je serais spin-docteur (et conseilleur), je conseillerais à Delanoé s’il veut pas couler d’éviter et Jojo et Roro… les papys ont beau faire de la résistance… on est quand même obligé de leur changer les langes toutes les heures.

 

Le H.

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Y
Bonjour,je ne suis pas socialiste mais je dois bien avouer que ton papier offensif (c'est sans doute ce qu'il leur manque) touche juste, comme en escrime. Très bien observé, et c'est sans doute en effet ce qu'il faut changer. Car le vieilissement de la population s'observe en premier lieu chez ceux qui nous gouvernent et ne veulent jamais arrêter depuis plus de trente ans.Si je peux me permettre, j'entendais ce matn encore sur Europe 1 Lionel Jospin, qui présente un syndrome tout aussi étonnant que celui que tu décris. Invité a propos de la rencontre Bayrou-Hollande, de l'état de la gauche et bien sur (avant tout ?) de son livre, il m'a semblé ne plus être socialiste. Avoir tout oublié sauf la tranche "horaire" 2002-2007, après le 21 avril s'entend. De fait il s'ocroît un droit de pourfendeur de ses anciens camarades bien illégitime au regard des responsabilités qu'il porte dans la débacle actuelle de la gauche.A bientôt\Yann\http://ecrits.over-blog.com
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